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saskia ϟ homme qui pisse face au vent se rince les dents

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Saskia Isibeal Hopkins
where is the werewolf ?
Saskia Isibeal Hopkins
ADMINISTRATEUR
▽ Messages : 144


Dans ma basse cour il y a
Je suis un ange:
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MessageSujet: saskia ϟ homme qui pisse face au vent se rince les dents saskia ϟ  homme qui pisse face au vent se rince les dents EmptyLun 30 Juil - 23:19


saskia isibeal hopkins
Informations utiles

▽ Nom : hopkins.
▽ Prénom : saskia isibeal.
▽ Age : vingt six ans.
▽ Date et lieu de naissance : née le vingt six novembre mille neuf cent quatre vingt cinq.
▽ Statut social : en relation.
▽ Orientation sexuelle : hétérosexuelle.
▽ Nationalité : née à manhattan; new york. Est donc américaine, tout en ayant une nationalité franco-italienne.
▽ Famille : ses parents sont décédés il y a plusieurs années de cela. Elle n'a que ses proches amis, les trois autres Alphas, qu'elle considère comme sa famille.
▽ Nature : lycanthrope.
▽ Groupe : powered by moon.
▽ Avatar : lana del rey.
▽ Crédits : avatar Mistaken, bannière Tumblr, icon Tumblr.

Caractère et particularités

Rédigez ici le caractère de votre personnage, ainsi que toutes les particularités qui vous semblent intéressantes. Il peut s'agir de caractéristiques psychologiques, mais également physiques.. Vous pouvez parlez de ses habitudes, de ses passions, de ses peurs et de ses caractéristiques.

Raconte-moi une Histoire

Je tiens à le préciser; je ne suis ni saine ni contrôlable. Me fréquenter, c’est comme attraper la peste : on n’en guérit pas. Maintenant que vous êtes au courant, c’est à vos risques et périls, je vous aurais prévenus. Malgré tout, si vous avez fait le dur choix de m’avoir dans vos vies, vous devez savoir quelques petits détails sur moi. Détails certes, mais comme je n’aime pas expliquer qui je suis, prenez en note et qu’on en reparle plus. Je suis dure, froide, efficace et complètement déboussolante. Je ne vais pas par quatre chemins pour dire ce que je veux dire, même si mes mots peuvent blesser, honnêtement, je m’en balance. À vous de vivre avec, ou pas. J’ai une grande gueule et je tiens toujours à avoir le dernier mot. Tenez-vous le pour dit, j’ai toujours raison et celui qui a tort, c’est vous. N’essayez pas de me contredire, vous courez à votre perte d’avance. Je suis complètement et définitivement une de ces personnes qui se définit comme marginale, indépendante et fière de l’être. Être comme tout le monde ne m’a jamais tenté, je n’ai jamais tenté l’expérience et je ne crois pas essayer d’ici les prochaines années. Je fais mon propre chemin, que vous soyez là ou pas, je m’en contrefous. La vie se poursuivra sans vous. De toute façon, je n’ai besoin de rien ni de personne pour être heureuse. Comme vous pouvez le constater, je suis une personne plutôt controversée qui adore semer la pagaille sur son passage.

J'ai été élevée dans l'hypocrisie la plus totale. Mes parents portaient une affection sans borne à leur réputation et à l'image que notre famille projetait. Il fallait dire les bons mots au bon moment, le bon sourire à la bonne blague, le petit rire lorsque nécessaire; tout était calculé d'avance. Cette hypocrisie, je l'ai appris dans le ventre de ma mère; elle avait probablement planifié mon futur bien avant d'être enceinte. Ma grande soeur a suivit l'exemple idéaliste de la famille. Lorsque je suis arrivée dans le décor, il était alors normal que je fasse de même. Cependant, je me suis vite découvert un penchant pour l'auto-dérision et pour le ridicule. J'aimais mettre mes parents dans des situations qui les gênaient particulièrement. Autant dire que j'étais dès lors classée dans leur liste noire. On a alors fait comme si je n'existais pas, me sortant seulement lorsque c'était nécessaire. Mes parents avaient déjà laissé tomber mon éducation dans le monde mondain, préférant me laisser vagabonder à ma guise, se disant probablement qu'un jour je reviendrais à la raison. Si seulement ils avaient su ...

« ARRRRRRRRRRR! » Mon père m’énervait, ma mère m’énervait, ma sœur m’énervait, la caissière m’énervait et ma voisine me tapait royalement sur les nerfs. Bref, la terre entière semblait s’être donné le mot pour avoir l’air bête et gâcher le peu de joie qui m’était donné d’avoir. C’était une de ses journées pénibles où l’on a envie d’abattre chaque air bête à coups de tronçonneuse. Vous voyez le genre j’imagine. Ma famille, c’était le comble de l’hypocrisie. Il fallait susciter l’envie des autres, les autres étant dans ce cas de figures les gens pauvres qui passent leur vie à se battre pour avoir de quoi nourrir la totalité de leur famille, et prouver que nous étions meilleurs que les autres. Foutaise. Qui pourrait être assez idiot pour croire un seul instant que cette famille de dégénérée – en l’occurrence la mienne – était meilleure que les autres? C’est dans un environnement où l’argent et le pouvoir ne font qu’un que j’ai grandit. Aussi bien vous dire que cela a été l’élément déclencheur de ma rébellion. J’étais le mouton noir de la famille, celui impossible à dresser, qui fume, qui boit, qui se drogue, et qui, au grand dam de mes parents, n’a aucunement l’intention de suivre les pas de sa parfaite grande sœur. Misère, sortez moi de là quelqu’un! « n’oublie pas chérie, ce soir nous recevons des membres importants du gouvernement. j’attends de toi que tu sois charmante et polie.» « aussi bien prendre une corde et faire un nœud. cela vous épargnera de devoir regarder l’incompétente hopkins à l’œuvre.» Mon cynisme aura ma peau un de ces jours. Ma mère avait feint ne rien entendre et la vie avait poursuivit son cours. C’était continuellement ainsi dans la famille, soit insupportable. Mes parents feignaient avoir une fille digne et ma sœur m’ignorait tout simplement, c’était beaucoup plus facile ainsi.

Le corps de Talynda gissait, encore chaud, sur une marre de sang qui continuait de s’agrandir à mesure que les secondes passaient. Elle semblait paisible dans cette position, même si son corps restait déformé par l’impact qu’il venait de subir. C’était comme si elle attendait cette libération depuis longtemps, on pourrait presque déceler un sourire satisfait sur ce qui restait de son visage. Il faut dire que l’idée que j’avais eue n’était pas très brillante, surtout après avoir engloutit une quantité incalculable de pilules volées à ma mère. Nous avions décidé de monter dans la vieille citerne d’eau qui donnait une vue sur la ville. Ce n’était pas la première fois que l’on entreprenait ce geste illégal, mais certainement la dernière pour ma meilleure amie. C’est à cet endroit que Talynda a glissé et est tombée. « imbécile, je savais que ce n’était pas une bonne idée. » « et comment aurais-je pu deviner que cette idiote de Taly tomberait?! » Comme seule réponse, j’eu droit à des yeux remplis de désapprobation de mon meilleur ami, Lloyd. Notre amie venait de mourir et je me sentais terriblement coupable. Nous avons continués nos vies, Lloyd et moi, comme si Talynda n’avait jamais existé. Nous nous sommes encore plus enfoncés dans la déchéance, espérant probablement plus qu’autre chose, oublier cette nuit.

Une année avait passée, mais je n’avais pas oublié. D’ailleurs, personne de notre entourage n’avait oublié. Des commémorations quotidiennes étaient faites pour la talentueuse Talynda qui avait un avenir prometteur avait-on dit. J’étais celle qui avait gâchée tout ce talent et qui avait conduit Taly vers un tout autre destin. On me reprochait sa mort, et j’en prenais le blâme sans riposter. C’en était beaucoup trop pour ma famille et leur précieuse réputation. « bonjour, je m’appelle saskia, j’ai seize ans, et je suis dépendante. » « bonjour saskia. » C’était idiot et complètement inutile. Mais ma mère insistait pour que je suive cette thérapie sur les dépendances. Honnêtement, c’était comme se retrouver chez les alcooliques anonymes, mais avec des dépendants affectifs et des héroïnomanes. Beaucoup plus attrayant au niveau des histoires personnelles de tous et chacun, mais pas nécessairement utile. Depuis la mort de Talynda, ma dépendance aux diverses drogues n’avait fait qu’augmenter, ce qui avait poussé ma mère, dans un dernier effort de sauver sa fille indigne, à m’inscrire à ces débilités. Je m’étais présenté à toutes les réunions, et j’avais même eu un parrain, un ancien sans domicile fixe accro aux seringues. Après de nombreux mois à ne rien vouloir savoir de ces thérapies, j’en suis finalement venue à la conclusion que la meilleure chose pour moi sera de suivre les conseils qui m’étaient donnés. J’ai donc travailler sur moi-même et après quelques rechutes, des heures de découragement à pleurer sur mon sort, je peux finalement dire que je suis désormais clean.

Je venais tout juste de fêter mes dix-huit ans. Je rêvais du jour où je pourrais enfin obtenir ma liberté, mais attendre mes vingt-et-un ans aurait été trop douloureux. Un beau matin, je me suis réveillé avec la ferme intention de quitter ce monde superficiel et de me créer mon propre univers. J'avais toujours cette personnalité à vous faire taire en moins de deux secondes et j'avais la ferme impression que ma liberté était opprimée. Décidée à ne pas suivre les pas du paternel et à faire autre chose de ma vie, je pris en cachette la carte de crédit d'urgence de la famille, fit mes valises avec le minimum possible et pris l'avion en direction de l'Europe. Mon but était alors de voyager, de vivre, de m'enivrer de découvertes et ce jusqu'à ma mort. Je n'avais pas de plans précis, simplement le goût d'envoyer foutre le monde entier.

Je me rendis dans de nombreuses villes et villages, en quête de sensations fortes. À cette époque, je tentais toujours d'oublier la mort dramatique de Talynda et oublier en tentant volontairement de faire des choses dangereuses pour ma vie semblait être le meilleur moyen de le faire. C'est en faisant du surf dans des eaux infestés de requins que je rencontrai Reynir. Il était là, faisant tranquillement du surf parmi les requins comme si ces derniers n'étaient que de simples poissons. Il avait l'air de s'en foutre royalement et de ne pas avoir peur du danger. De mon côté, mon coeur battait à mille à l'heure. Mon cerveau avait parfaitement conscience du danger, mais c'est cette montée d'adrénaline que je recherchais de toute manière. Honnêtement, je l'admirais. Il était en parfait contrôle de lui-même, prêt à toute éventualité. D'un autre côté, les requins ne s'approchaient pas du tout de lui. Étrangement, c'est comme s'ils s'éloignaient plutôt de lui ... Sa prestance me frappait. Il était droit et fier. Je venais de tomber complètement sous son charme ...

Le temps faisant bien les choses, ce ne fut pas long avant que Reynir et moi soyons inséparables. Faisant tour à tour des sports dangereux à la recherche d'adrénaline, j'avais l'impression qu'il était le seul en ce monde à me comprendre réellement. Et puis, il y avait ce petit quelque chose qui faisait que nous étions complètement aimantés l'un par l'autre ... Il n'y avait aucun doute pour moi. Peu importe où Reynir irait, j'irai.

Je me réveillai avec une étrange douleur au cou, à la tête et au coeur. L'ensemble de mon corps semblait se battre contre un virus mortel. J'étais en sueur, mes draps étaient littéralement mouillés. J'ouvris à peine les yeux. « reynir! reynir! reynir! » Je paniquai, me demandant ce qui m'arrivait, prête à appeler les secours immédiatement. Je vis le visage de Reynir s'approcher du mien. Il ne semblait ni inquiet, ni concerné. Au contraire, un petit sourire était accroché à son visage; l'air satisfait. « rey' ... qu'est-ce que qui se passe ... ? » « tu le verras sous peu. rappelle-toi simplement que c'est pour le mieux. » « Je ne ... » Puis la transformation, ma foi intolérablement douloureuse, commença. Mon corps commençait à se transformer, du poil poussait littéralement sur mon corps et j'étais complètement perdue. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait; je me souviens simplement m'être éveillée complètement nue dans une forêt et que Reynir se trouvait à mes côtés ...

Avec le temps, bien des explications et des cris, j'appris que Reynir était en fait un lycanthrope depuis ses dix ans, mais qu'il contrôlait parfaitement ses transformations. Il avait fait de moi une toute nouvelle personne, ayant plus de pouvoirs que je ne l'aurai jamais imaginé. J'avais pris un temps à accepter la bête que j'étais devenue, mais je compris rapidement que c'était pour le mieux. Je compris que la colère que je gardais en moi depuis de nombreuses années pouvait désormais être assouvie. J'avais soif de vengeance et je venais de trouver un des meilleurs moyens de me rendre justice. Reynir me montra tout ce que je devais savoir sur les lycans et nous décidions qu'il était plus que temps de se trouver un endroit où nous pourrions avoir l'espace nécessaire pour nos transformations. Bien que nous réussissions à contrôler parfaitement nos transformations, le fait de ne pas pouvoir nous montrer au grand jour nous dérangeait. Et puis, nous avions appris à travers les branches qu'un petit village en Irlande abritait de nombreux de nos semblables ...

C'est ainsi que nous avons fait notre apparition au village d'Antrim, dès nos vingt ans. Nous sommes vites apparus comme un jeune couple en recherche d'une place pour s'établir et commencer leur vie commune. Au sein du village, nous étions le nouveau couple excentrique venu de la ville. Les villageois nous parlaient, mais nous trouvaient étranges à la fois. Et avec raison ... Dès le premier soir, nous avons envahi les lieux, tuant bon nombre d'humains et semant la terreur à Antrim. Nous avons vite eu le respect de nos semblables et avons pris une place considérable au sein d'une des deux meutes d'Antrim. Désormais loups Alphas, nous avons plein pouvoir sur la destruction de la race humaine ... Un projet qui nous tient particulièrement à coeur. Disons que nous en avons assez de vivre cachés ...


Derrière l'écran

Holà la compagnie! saskia ϟ  homme qui pisse face au vent se rince les dents 2474380249
Alors, moi c'est BLUEPRINT. et comme vous pouvez le constater, je fais partie de cette merveilleuse équipe qu'est l'administration de W.W. Du haut de mes vingt-et-un ans, j'ai beaucoup d'énergie à revendre et j'espère pouvoir la partager avec vous. J'aime les personnes téméraires qui n'ont pas peur d'essayer. Alors, surprenez-moi avec des liens tordus et des topics qui tournent à la catastrophe : j'adore! Vous ne pourrez pas me rendre plus heureuse. Je suis complètement délirante, si on apprend à me connaître, et je dois avouer avoir parfois l'esprit plutôt tordu. J'espère que vous saurez apprécier ce petit monde que nous avons pris tant de temps à construire.
On se voit bientôt! saskia ϟ  homme qui pisse face au vent se rince les dents 1003453391

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